1. Agir en contractuel de droit public de façon éthique et responsable

Relevé descriptif :
Lors d’échanges entre collègues, nous évoquons souvent des situations pour lesquelles nous ne connaissons pas nos responsabilités juridiques. Cela va de l’expérience en laboratoire qui doit respecter des consignes de sécurité, à un manque de respect d’élèves entre eux ou avec les professeurs, ou encore à des situations plus graves de violence et de maltraitance pour lesquelles nous ne savons pas quelles autorités alerter.


Synthèse / acquisitions :
Il est nécessaire de se référer aux textes officiels pour mettre en œuvre notre enseignement.
Par ailleurs, s’il semble évident que nous devons être vigilants aux problèmes de racisme, de xénophobie ou de sexisme, les formateurs m’ont fait prendre conscience que l’école est un lieu ou nous créons encore davantage de différences et d’exclusions (sélection par les résultats aux examens, remarques faites en classe…). A cet égard, nous devons nous rappeler que l’école a avant tout vocation à former et non à réprimer.

Alors, pour ma part, voila ce que j'ai ecrit :

Relevé descriptif :
Des situations de crise peuvent surgir lors de nos cours ; alors comment pouvons-nous gérer ces situations ?
Comment pouvons-nous faire régner le respect mutuel des élèves par rapport aux interventions en classe, aux notes mais aussi par rapport aux différences physiques et vestimentaires ?
Nous enseignons dans des établissements privés catholiques donc comment pouvons-nous intervenir en tant qu’homme, qu’adultes et citoyens en respectant les convictions de chacun, notamment les convictions religieuses ?

Synthèse / acquisitions :
Au cours de la formation, nous avons mis en place des DESC (Décrire la situation, Exprimer ses sentiments sans les énoncés, Suggérer des hypothèses et des solutions, Conséquences favorisantes) et donc appris à gérer des conflits.
Nous avons pu échanger nos vécus et en avons fait ressortir les points forts et les points faibles. Nous pouvons donc résumer cela en trois grands points qui sont : Savoir écouter ; Savoir jouer un rôle de médiateur ; Savoir analyser chaque fait.
Mais il ne faut tout de même pas oublier que nos établissements sont également soumis à la législation française, ainsi qu’au règlement intérieur qu’il faut faire appliquer dans tous les cas…

Relevé descriptif :

Comment gérer les situations de crise qui peuvent surgir lors de nos cours ? Comment agir, se comporter lors de nos séances, en tant qu’adulte, en tant qu’homme, en tant que citoyen ?
Comment faire intervenir le fait que nous enseignons dans des établissements privés, catholiques tout en respectant les convictions, notamment religieuses de chacun? Qu’’est ce que cela change par rapport à l’enseignement public ?


Synthèse / acquisitions :
Avant toute chose il nous a été rappelé lors de la formation que l’on ne pouvait exiger d’un élève quelque chose que nous même nous n’appliquions pas : il nous est donc obligatoire bien évidemment de montrer l’exemple quant à la ponctualité, à notre tenue, à notre langage.
Si un conflit apparait lors d’un cours, il est de notre devoir d’intervenir d’une part et de tenter de désamorcer le conflit d’autre part, en expliquant aux élèves ce qui est attendu d’eux ; leur rappeler également que même en cours, la loi s’applique et que porter atteinte à l’intégrité physique et/ou morale d’autrui est punissable par la loi. Leur faire comprendre aussi qu’ils ont des droits au sein d’un établissement scolaire ; leur dire enfin que dans l’enseignement privé, même si l’on ne partage pas les convictions religieuses, on doit en partager les valeurs morales et éthiques.

Relevé descriptif :

La classe, c'est un peu comme une jungle peuplée de petits êtres sauvages et tous aussi maléfiques les uns que les autres. De ce fait, mon expérience en tant que boxer dans un club sportif m'a beaucoup apporté. Taper le premier, avant qu'on ne me tape, voilà ma devise. Taper très fort surtout dans la tête (car pas de trace ni de sang) pour certain, cela ne pourra que leur remettre les idées en place.

Synthèse / acquisitions :

Taper dans le ventre, non, ça fait trop mal et puis ils pleurent et puis... on est plus sous la III ième république... Non pas dans le ventre...
Tirer les cheveux, c'est plus pratique, surtout les filles qui les ont souvent longs, en passant tout en continuant son cours, arracher quelques mèches ça défoule et ça leur irrigue le cuir chevelus (attention toujours agir pour le bien de l'élève)...
Mais il n'y a rien de mieux que taper dans la tête, (pas le visage, la tête) c'est aussi une façon de les évaluer, "tête bien pleine ou tête bien faite" ?

Voilà... si ma contribution peu apporter quelque chose à ceux qui sècheraient sur la compétence C1.

La tete, oui.. mais pas avec les mains, ca laisse les traces de doigts.. par contre, un bon dictionnaire, ou bien l'annuaire parisien..